dimanche 31 décembre 2017

Que la transition 2017 - 2018 fasse LA différence

Dans le but de quitter 2017 sur une note positive, je vous invite à faire le point sur l'ensemble de l'année qui vient de s'écouler en répondant à cette liste non-exhaustive : 

- Quelle est votre satisfaction principale concernant 2017 ? 
- Quel est votre meilleur souvenir de 2017 ?
- Qui pourriez-vous remercier pour cette année ?
- Quelles sont vos fiertés ?
- Quelles sont les prises de conscience que vous avez eues et qui vous ont fait grandir ? 
- Qu'avez-vous réussi à accomplir ou du moins à entreprendre dans l'année ?
- Quel unique mot attribueriez-vous à l'ensemble des mois écoulés ?


Et dans le but de démarrer 2018 du bon pied, je vous incite à la préparer par l'intermédiaire de ce fil conducteur : 

- Transformer vos regrets en nouveaux projets 
- Exprimer les non-dits et vos émotions refoulées
- Se fixer un challenge personnel pour la nouvelle année

Bref, mettez-vous en action, soyez acteur.trice de votre vie !




Petite astuce : investissez dans un joli bocal. Chaque jour, inscrivez sur un morceau de papier ce qui a fait votre bonheur du jour. Arrivé.e au 31 décembre de l'année prochaine, prenez le temps de relire chacune de ces belles satisfactions qui vous rappelleront les meilleurs moments 2018 :-) 

A l'année prochaine !

dimanche 24 décembre 2017

Feedback #21 : La Communication

En ce dernier article de l'année 2017, je souhaitais intervenir sur un sujet du quotidien, nous concernant tous, à tout moment de la journée, mais que nous négligeons beaucoup trop...

Cette thématique concerne la communication

En pleine ère du numérique, de la technologie, de la communication instantanée, nous avons la sensation de maîtriser nos échanges avec autrui, avec le monde entier, même, mais nous oublions que ceux-ci sont de véritables arts à manipuler avec agilité, authenticité et attention.

Les différents modes de communication


Aujourd'hui, la société se vante d'un certain nombre d'évolutions technologiques, comme celle des téléphones et de leurs applications, ou de la toile. Avec chacune de ces possibilités, nous avons un accès quasi illimité aux informations dont nous pourrions avoir besoin, à tout instant de la journée ou de la nuit, n'importe où dans le monde.
Pratique, cette ouverture n'en est pas pour autant aussi facilitatrice de rapports avec les autres que nous pourrions le croire. En effet, malgré la belle intention qu'est l'interactivité que représente cette évolution, eh bien l'ouverture que nous connaissons sur le monde limite, finalement, notre véritable connexion avec l'instant présent et les gens qui nous entourent.

Alors que nous tenons le monde entre nos mains, à travers nos smartphones et autres tablettes, nous ne tendons plus concrètement la main aux autres et nous nous retrouvons à nous enfermer, parfois même à nous isoler. Nous commandons nos courses sur le net pour éviter le contact de la foule, nous ne faisons plus travailler les commerces locaux en achetant depuis notre appartement en quelques clics, nous discutons par écrit à des gens plus ou moins proches, que l'on connait vraiment ou parfois peu...

Nous nous retrouvons alors dans une sorte de bulle, sans plus de véritables liens, voire même coupés du monde dans lequel nous vivons.

Un exemple plutôt frappant et révélateur : celui de tout un public venu acclamer une star lors de son arrivée au pays. Seule une personne a vécu cet instant présent. Une vieille dame, qui ne se cramponnait pas à son téléphone portable pour filmer et immortaliser ce moment, mais qui le vivait pleinement, en savourant avec ses propres yeux, sans cette vitrine que représente l'écran tactile. 

De quoi réfléchir sur notre manière de vivre nos évènements et nos émotions...Nous préférons les immortaliser pour s'en rappeler, plutôt que les vivre entièrement et pleinement et se remémorer avec nos propres sensations. A travers les écrans, l'interaction avec cette interface qui filtre la réalité de l'instant, nous nous trouvons coupés de nos propres sentiments et sensations.


Les interlocuteurs


Quelles sont les personnes auprès de qui nous échangeons, nous discutons, nous communiquons ?

Il y a bien évidemment : 

1. Notre sphère privée, avec : 
          - notre famille (les enfants, les parents, les frères et sœurs, pour ne citer que les liens de parentés les plus directs mais pas forcément les plus forts pour autant...)
             - nos ami(e)s, plus ou moins proches (j'entends par là la différenciation entre les "simples connaissances" et les "amis de toujours")
             - nos voisins (vous les connaissez, vous ?)

2. Mais aussi ce que l'on peut appeler notre "réseau" de carrière, intégrant : 
- nos collègues et notre hiérarchie
- nos clients ou fournisseurs

Et puis, il y a également toutes ces autres personnes autour de nous, tous nos partenaires de la vie quotidienne : le boulanger, le facteur, la caissière, le vigile à l'entrée du supermarché, le gardien d'immeuble, le conducteur de bus, le pharmacien, le commerçant, le cuisinier, ce voisin de table lorsque l'on mange au restaurant ou lorsque l'on boit un café en ville, cette personne derrière qui on attend pour passer en caisse ou avec qui on prend l'ascenseur...

Pour chacune de ces personnes, j'ai envie de vous demander : les prenez-vous réellement en considération ? Vous rappelez-vous la notion d'échanges et de service lorsque vous les côtoyez ?  Et que finalement, vous aussi, à un moment donné, vous faites partie de la sphère privée, du réseau de carrière et de ces partenaires de vie quotidienne pour quelqu'un ?

L'agilité, l'authenticité et l'attention à apporter dans tout échange 


Prendre conscience de ce fait est indispensable pour reprendre un contrôle certain concernant sa communication avec quiconque autour de soi. 

1. Et cela va tout d'abord passer par la bienveillance. 


Comment ? En vous connectant à l'autre, à votre interlocuteur. 

Cessons de poser machinalement la question "Ça va ?" en se faisant la bise, ou en se croisant, sans vraiment écouter -attendre ?- la réponse. 
Cessons les sous-entendus à travers les "J'espère que ça va bien." qui indique clairement que nous n'attendons ni ne souhaitons aucune réponse, qu'elle soit positive ou négative.

Quand avez-vous pris le temps de regarder quelqu'un dans les yeux, de lui demander réellement comment ça va, attendre sa réponse, l'écouter et en discuter
Quelle est la dernière fois où vous avez pu ressentir et partager les émotions de votre interlocuteur à travers sa réponse ? 

Il y a deux notions relativement subtiles : entendre et écouter

Je vous invite alors à laisser tomber tout filtre entre vous et vos interlocuteurs, et à prendre le temps de poser sincèrement et entièrement votre question à l'autre. Consacrez-vous à lui. A ses attentes. A ses besoins. De la même manière que vous souhaiteriez que l'on se consacre à vous le cas échéant.

 "Agis avec les autres de la même manière dont tu aimerais que l'on agisse avec toi"


2. Cela impose donc une grande marque d'authenticité. 


Interrogez-vous : suis-je davantage dans l'être ou le paraître ? Il n'y a pas de mal à ne pas vouloir entrer en conversation avec une personne à un moment donné, peut-être parce que ce n'est pas le moment pour soi. 
En tout cas, être authentique envers les autres revient à se révéler vrai envers soi, s'écouter et se respecter. En agissant de la sorte, vous éviterez bien des souffrances. D'abord à vous-même, en vous épargnant un aspect superficiel dans vos relations, mais aussi à votre interlocuteur. Ne lui donnez pas l'espoir d'un échange plus approfondi alors que vous-même n'en souhaitez pas davantage ! Cela évitera de ne pas réussir à dire non par la suite, pour boire un café et discuter des problèmes de l'autre alors que vous-même n'êtes pas en état. Anticipez le désastre de la situation : une écoute sans qualité, une discussion à sens unique, sans apport d'une quelconque aide, un sentiment d'inutilité et de culpabilité partagés par vous et votre interlocuteur.

Être authentique, ce n'est pas rejeter l'autre. C'est avouer quand c'est le moment ou non, ce qui permet de respecter ses besoins à soi (je ne peux pas supporter davantage de noirceur, alors je préfère ne pas "tendre le bâton pour me faire battre"), mais aussi de respecter l'autre, en ne se montrant finalement disponible uniquement lorsque vous serez en mesure de l'écouter réellement, de l'aider et donc de le relever.

3. Il est donc primordial de prêter attention.


Prêter attention à soi et à ce qui se passe autour de soi. Cela veut dire, lever le nez de son téléphone, interagir avec son entourage, dire bonjour, sourire, observer... 

Bref, prêter attention ça veut dire sortir de sa zone de confort, pour réussir à comprendre les autres, leur mode de fonctionnement, leurs ambitions, leurs projets, s'en inspirer, évoluer, faire le tri entre ce qui est à prendre et à laisser... 

Cela induit ne pas se mettre en première position, mais davantage prendre du recul, laisser faire, prendre le temps de saisir ce qui se passe et de voir ce qui ressort de la situation, chose que l'on n'a malheureusement plus l'habitude de faire puisque nous passons notre temps à fuir, plonger dans nos occupations et à courir après le temps.

A quelle(s) occasion(s) ?


Pour la sphère privée, lors des fêtes de fin d'année, par exemple ! 

Avec le voisinage, auprès de qui vous pouvez, par exemple, présenter vos vœux pour la nouvelle année, ce qui pourra peut-être amener à des échanges plus prolongés ? L'idée n'est pas de devenir les meilleurs amis du monde et de sans cesse passer la soirée chez les uns ou chez les autres, mais plutôt d'entretenir des relations cordiales avec le voisinage, pour qu'en cas de besoin, on retrouve aussi cet élan de solidarité qui se révèlerait utile pour tout à chacun. 

Rappelez-vous que l'on récolte ce que l'on sème

"Ne semez rien, vous récolterez de l'indifférence ; semez quelques attentions, vous récolterez l'Amour"


Avec les membres de la famille, il existe souvent des sujets de discordes voire de tensions ou même de véritables conflits
Et si les rancœurs étaient mises de côté et que l'on cherchait davantage à se réconcilier

Pour ce faire, je vous déconseille la politique de l'autruche qui consiste à faire comme si de rien n'était, à prendre sur soi, jusqu'à ce qu'un jour la soupape soit sur le point d'exploser et que l'on se surprenne à s'insurger au sujet de l'un ou de l'autre, jusqu'à le traiter de "bouffon".

Privilégions davantage des solutions, avec des terrains d'entente, des concessions de tout côté. Optons plutôt sur l'occasion des bonnes résolutions de l'année pour partager ses souhaits, afin de palier des doléances passées au cours de l'année écoulée.

Dans un cadre plus professionnel, je ne vous inviterai jamais assez à être le plus clair possible dans vos échanges. Cela va passer par un temps non négligeable à réaliser en tête à tête avec vous-même, afin de faire le point sur ce qui vous convient et ce qui ne vous convient pas ou plus. A la suite de quoi, en sachant précisément ce que vous souhaitez ou non, vous serez en mesure de l'exprimer. 

Enfin, dans toute relation, gardez en tête la volonté de faire avancer les choses, de les arranger, d'amener du bon dans des situations qui ne peuvent que s'améliorer

Vos résolutions dès maintenant 


Alors je vous le demande : agissez dès maintenant pour cesser de procrastiner et de perdre votre temps avec des futilités qui ne rendent heureux ni votre interlocuteur ni vous-même. 

Appelez votre ami(e) que vous n'avez pas vu ou entendu depuis de longs mois ;
Prenez des nouvelles des personnes chères qui sont loin de vous physiquement ;
Planifiez un petit-déjeuner, un déjeuner ou un dîner avec quelqu'un à qui vous savez que ça ferait plaisir ;
Osez aborder une personne seule sur un banc ou une terrasse de café pour engendrer une conversation ;
Rompez la solitude et l'individualisme qu'induit notre société et nos modes de vie...

Et ressentez pleinement cette joie que de vivre dans l'instant présent, avec l'autre.

"Charité bien ordonnée commence par soi-même"


mercredi 20 décembre 2017

Dernier challenge de l'année...

2017 s'achève et j'aimerais vous inciter à terminer sur une note positive.

Pour ce faire, j'ai choisi ce tout nouveau Challenge Bien-Être :


A dans quelques jours pour en parler !

Portez-vous bien :-)

mercredi 15 novembre 2017

Feedback #20

(Re)devenir maître de soi


Thématique particulièrement vaste, générale, qui englobe bien des réflexions de vie, je vous l'accorde ! 

Alors, laissez-moi vous guider. L'idée principale de ce Challenge Bien-Être mensuel réside essentiellement dans le fait que notre propre bonheur ne dépend que de nous.

Avant tout, il me parait important, et il me tient à cœur, de vous confier que cette thématique m'a été proposée par une personne brillante dans tous les sens du terme, dans un but bien défini : évoquer les maux de la société d'aujourd'hui, avec une approche toute particulière au sujet des souffrances physiques et mentales intrinsèques aux maladies chroniques, par exemple, ou aux maladies dites "de l'invisible", dans le quotidien de certaines personnes. J'entends par-là fibromyalgie, maladies auo-immunes, diabète, hyperméabilité intestinale, algies et tellement d'autres encore que l'on ne connait pas forcément mais qui existent bel et bien et qui possèdent un impact réel dans le quotidien des personnes concernées.

L'enjeu de cet article aujourd'hui est de proposer des alternatives pour ne plus subir ni être victime de pathologies mais, au contraire, (re)prendre un certain contrôle sur l'impact que celles-ci peuvent avoir sur soi

Oui, mais comment ? 


En aucun cas ce dont nous allons parler dans la suite de cet article va vous permettre d'éradiquer la souffrance qu'engendrent les pathologies auxquelles vous pouvez être confronté(e). Je n'ai malheureusement pas de remèdes miracles pour faire disparaître l'ensemble des symptômes qui se manifestent dans votre vie. Mais il y a une certitude : votre état d'esprit peut amener à changer votre façon de vivre les symptômes, tant physiques que moraux, des problématiques que vous rencontrez. Et cette action peut déjà apporter du changement dans votre quotidien.

Là est l'objectif principal de mon écrit, ce jour.

En effet, tout passe par votre mental

 

Je crois que je ne vous apprends rien. Depuis le début de ce blog, nous n'arrêtons pas de constater le pouvoir de l'esprit sur notre quotidien. Pourquoi est-ce que cela changerait aujourd'hui ? ;-)

Souvenez-vous, la fameuse loi des séries : l'ampoule de la cuisine qui grille, la porte du lave-linge qui se casse et le lave-vaisselle qui fuit. Eh bien, il est important de toujours garder en tête que s'il y a un  yin il existe aussi un yang ! Tout comme le principe féminin et masculin qui se complètent, à la nuit, nous avons le jour, etc.
Ce vers quoi je veux vous emmener, c'est derrière l'expression "Après la pluie, vient le beau temps" qui résume parfaitement la loi d'attraction. En d'autres termes, il y a cercle vicieux et cercle vertueux.

Et il ne tient qu'à nous de faire la différence dans la rupture du cercle qui ne nous convient pas. 

Illustrons : on a passé une mauvaise nuit, on a du mal à émerger quand le réveil sonne, on se lève du pied gauche, on renverse son café ou jus d'orange, on fait des pâtés en appliquant son mascara, on perd ses clefs, il commence à geler dehors et faut gratter le parebrise alors qu'on est déjà en retard pour aller au boulot...
Pensez-vous que c'est en vous agaçant derrière le volant, lorsque ça bouchonnera sur le chemin, que ça ira mieux ?
Pensez-vous que c'est en ruminant toute la journée sur la mauvaise nuit passée, sur la difficulté de la journée, en se focalisant sur la non-motivation du jour que vous allez vous sentir mieux ?

C'est très imagé, exagéré, et bien entendu décalé par rapport au vécu d'une pathologie quotidiennement. Mais il n'empêche que des schémas tels que ceux-là sont particulièrement représentatifs de notre comportement en tant qu'être humain. Ce sont ces schémas-là que nous répétons dans notre vie... Et qu'il est nécessaire de modifier !
L'humain a la fâcheuse habitude de ne se concentrer que sur ce qui ne va pas ou plus. C'est assez dur à reconnaître mais il nous faut être dans le malheur pour se rendre compte que l'on vient de connaître une période de bonheur. Et c'est assez rare quand on pense spontanément à l'inverse ! Pour être réconforté(e), encore faut-il avoir connu la peur, pour être dorloté(e) et choyé(e), il a fallu être blessé(e)...
L'humain a la fâcheuse habitude de ne pas savoir profiter de l'instant présent tel qu'il lui est donné, s'offrant pourtant à travers celui-ci l'opportunité de pouvoir agir sur lui en temps et en heure si ce temps présent ne lui convient pas. Certains appelleront la "positive (voire Bisounours !) attitude", et d'autres, en développement personnel, diront plutôt que vous êtes maître de votre vie.

Comme pour le reste, tout est affaire de perception. Je vous laisse alors le choix d'être soit dans l'utopie et ce qui parait donc inaccessible, soit dans une approche davantage active de et dans votre propre vie.

Avec la maladie, il est tout à fait possible de rompre, là aussi, avec ce schéma d'auto-flagellation qui se révèle lorsque la manifestation de la maladie devient une obsession. Quand je parle de "manifestation de la maladie", j'entends les symptômes. Mais quand je parle de "manifestation de symptômes", je parle des symptômes qui sont présentement là, en ce moment précis, ET de ceux que l'on sait qui ne vont pas tarder, ou finiront par arriver (effet d'anticipation). Ce qui fait que l'on reste constamment plongé(e) dans la maladie, qui efface alors notre propre existence en prenant notre place.

Le patient n'existe alors plus que par et à travers sa pathologie.

Et c'est justement cet aspect de vie des maladies que j'aimerais vous aider à dépasser. Pour ce faire, je vous propose alors de devenir votre meilleur(e) allié(e) et de vous prendre par la main pour avancer plus positivement. Il y a, il est vrai, certaines pathologies très lourdes où il parait vraiment improbable d'avancer positivement. Mais je reste convaincue, et c'est vraiment mon fort intérieur qui parle à cet instant précis, je reste convaincue que si "une journée n'est pas forcément réussie, il y a toujours quelque chose de réussi dans celle-ci". Il ne tient qu'à vous de le souligner.

Il me parait indispensable de parvenir à regarder au-delà du mal qui nous ronge déjà. En se focalisant dessus, en "ruminant" l'ensemble des symptômes pesants, c'est un peu comme maintenir votre tête sous l'eau. Or, vous avez besoin de respirer. Et selon vous, quelle serait cette bouffée d'oxygène ? Tout simplement, le fait d'exister en tant que VOUS.

Alors, et si, désormais, vous vous efforciez de me prendre au mot et de jouer le jeu sur ces prochaines semaines ? Pour commencer, je vous recommande trois nouvelles habitudes de vie à adopter au quotidien :

- la première, c'est le matin : au lever, ou en tout cas dans la matinée, pour bien entamer l'ensemble de la journée. Regardez-vous bien attentivement dans le miroir et faites-vous un compliment à haute voix. Sincèrement. Prenez le temps de remarquer des choses positives du reflet que vous envoie le miroir. Des choses positives sur votre physique et/ou personnalité, peu importe. Mais sachez reconnaître des valeurs positives à votre égard en vous regardant droit dans les yeux et en vous adressant à vous-même, avec la même conviction que celle que vous auriez pour un(e) ami(e). Devenez bienveillant(e) envers vous-même.

Le fait de subir la maladie rend vulnérable. Derrière cette vulnérabilité, se traduit bien souvent de la culpabilité. Même si vous ne comprenez pas forcément pourquoi le sort peut s'acharner ainsi sur vous et votre santé, même si cela vous semble injuste, l'esprit humain interprète la maladie comme une punition. L'inconscient, par conséquent, entretient cette punition en vous blessant davantage de par le regard critique que vous portez sur vous-même. Alors, pour rompre avec ce schéma destructeur, encouragez-vous. Valorisez-vous. La maladie ne vous ressemble pas. La maladie ne fait pas de vous l'être que vous êtes. Votre être intérieur, seule votre volonté est à même de le modeler.

Tout part et passe par votre mental.

Ensuite, faites-vous un premier sourire, puis un deuxième, puis un troisième, et ainsi de suite jusqu'au nombre dix. Vous verrez, au début, ils seront crispés, forcés, ressembleront même à des grimaces, peu importe ! Souriez-vous ! C'est le dixième sourire qui comptera le plus. Ce dixième sourire face au miroir reflètera une image positive à votre inconscient.

- au coucher, affirmez deux choses : la première, votre fierté de la journée. Quelque chose que vous avez pu accomplir alors que vous ne l'auriez pas cru, par exemple.
Et la deuxième, indiquez ce que vous avez le plus aimé / apprécié dans cette journée. Il y a forcément un échange, une expérience, un apprentissage, une rencontre, un sourire, une surprise, un moment qui vous a particulièrement touché aujourd'hui. Focalisez-vous dessus en fin de journée, afin de ne pas rester sur une note négative du quotidien pesant de la maladie.

Prenez en l'habitude. Vous pouvez le partager avec vos enfants, avec votre conjoint, avec un ami, ou juste avec vous-même. Faites-le à voix haute, et si vous appréciez l'idée de faire ce que l'on appelle un "feedback" d'ici quelques mois (c'est-à-dire un retour en arrière pour pouvoir juger de son avancée dans son propre développement personnel), n'hésitez surtout pas à investir dans un carnet de bord où vous glisserez chacune de ces annotations quotidiennes.

Aussi, il existe des techniques concrètes qui peuvent vous aider dans votre quotidien


Il y a des pratiques spécifiques qui peuvent vous soulager. Il faut, en général, pour celles-ci, faire appel à un thérapeute.

- L'hypnose

En dehors de l'aspect du mal a dit qu'il me semble toujours intéressant de décrypter lors d'un diagnostique médical, notamment à travers le livre de Jacques Martel sur le Dictionnaire des Maux, en dehors de la possibilité de comprendre la signification des souffrances auxquelles nous pouvons être confronté(e), l'hypnose peut également aider à mieux supporter les douleurs,  peut-être même d'ailleurs à mieux les appréhender.

Ainsi, il pourrait devenir plus aisé de prendre en considération le mal dans le but de l'accompagner et non plus dans l'état de se soumettre à la maladie qui dicte ses lois.

Le thérapeute peut vous enseigner des exercices d'auto-hypnose pour la gestion du sommeil, par exemple, ou de l'anxiété. Vous pouvez donc utiliser l'hypnose comme moyen de lâcher prise face aux problématiques des maladies rencontrées et subies, ce qui peut permettre de comprendre la maladie et de ne pas (plus !) être en éternel conflit avec elle. Cette thérapie a pour objectif d'apaiser un mental bien souvent torturé par ce qui lui arrive, que ce soit de manière consciente ou inconsciente, ce qui entraîne inévitablement crispation et donc souffrance(s) supplémentaire(s).
 
En image, je pourrais évoquer les douleurs de l'accouchement. Il vous sera déconseiller de lutter contre les contractions car plus vous lutterez, plus vous souffrirez.  Il est, en effet, préconisé d'accompagner les contractions, notamment par le biais de la respiration.
L'enjeu est identique à travers des méthodes comme l'hypnose.


- L'EFT et / ou l'EMDR

Lorsque l'on parle de maladie, pour ma part, je vois vraiment une cohabitation contrainte et forcée entre la personne concernée et le mal qui se diffuse en elle. Ce mal, qui va se distinguer sous toute une compilation de symptômes divers et variés, tente d'écraser la personne à qui il s'en prend, pour la dominer et la réduire à néant jusqu'au cas le plus échéant, le décès. C'est pourquoi l'idée de constamment tourner en rond au sujet de sa maladie alimente concrètement l'importance de ce mal et le conflit intérieur qui ronge.

Il est donc primordial de la prendre en considération pour parvenir à la dépasser émotionnellement.

L'EFT (en français, Technique de Libération Émotionnelle) et l'EMDR (en français, Désensibilisation et Retraitement par les Mouvements Oculaires) sont deux techniques de plus en plus pratiquées en France pour travailler les blocages émotionnels, aussi causés par la maladie. Et c'est par la pratique de ces techniques que vous allez les prendre en considération, et réussir à davantage intervenir sur les conséquences qu'elles engendrent dans votre quotidien.

La différence entre ces deux techniques c'est qu'avec l'EMDR vous êtes "dépendant(e)" du thérapeute puisque c'est par son intermédiaire que vous allez pouvoir réaliser la technique, tandis qu'avec l'EFT, il vous suffit que le thérapeute vous transmette la technique pour que vous puissiez la réaliser en totale autonomie. Cette technique s'appuie sur les méridiens énergétiques de la médecine chinoise traditionnelle, permettant de se focaliser sur la problématique rencontrée (la manière d'endurer les symptômes de la maladie, par exemple), et d'engager un changement par l'affirmation de la reconnaissance de ce problème puis de l'état d'esprit et l'approche que l'on désire dorénavant adopter.

Enfin, il y a toutes ces actions complémentaires à ces thérapies


Telles que l'art thérapie, qui permet d'accéder à des sentiments enfouis pour les extérioriser. Autre méthode assez similaire, vous pouvez vous dégoter une passion qui vous accapare l'esprit. Celle de la personne dont je vous parlais en début d'article et qui m'a évoqué ce sujet d'article s'est découvert une passion pour la création avec les livres.

En actions complémentaires, il y a également la consommation d'homéopathie ou de fleurs de Bach, en accord avec vos médecins, des séances d'acupuncture, de sophrologie ou encore d'ostéopathie fluidique qui pourraient vous être utiles. Tout simplement parce qu'elles vous permettront de vous faire du bien, de vous recharger, de prendre un temps pour vous qui vous paraisse constructif.

A travers ces actions complémentaires, entendez également des exercices de relaxation et de visualisation, notamment inspirés de la PNL (Programmation Neuro-Linguistique). Concernant la visualisation, elle peut s'avérer bénéfique notamment lorsqu'il y a des pics de douleurs physiques à surmonter, grâce à la visualisation d'un lieu appelé "refuge".

En définitive,


Il est évident que lors de maladie, peu importe laquelle dont il s'agisse,  les pressions physiques et psychologiques subies sont difficiles à supporter au quotidien. Pour certaines d'entre elles, le corps médical est tout aussi impuissant que le patient, et tâtonne dans sa prise en charge...

Mettre en pratique ces recommandations ne vous amènera pas à la guérison, c'est certain, et j'en suis sincèrement navrée. Cependant, cela pourrait être l'occasion d'un nouvel objectif à vous donner, qui vous stimulerait et vous donnerait l'envie d'aller de l'avant.

Les symptômes de la maladie sont le seul moyen de celle-ci d'attirer votre attention et vous réduire à son existence qui, souvent, ne se voit pas. Les suggestions que je vous apporte quant à votre manière de vous approcher de vous-même lors de difficultés médicales ont pour but de ne plus vous réduire à vos souffrances, mais à faire émerger ce que vous êtes avant tout : un être humain.

Prenez soin de vous

jeudi 9 novembre 2017

Challenge Bien-Être... De taille !

En cette fin d'année, il me paraissait important de finir sur une note ultra positive afin de terminer 2017 en beauté et de démarrer 2018 du bon pied

Dernièrement, j'ai été sollicitée pour évoquer, à travers mes articles blog et chroniques radio, une thématique particulièrement spécifique, bien que connue par bon nombre de gens, au vu des maux de notre société...





J'ai choisi d'aborder cette thématique à travers un Challenge Bien-Être général, pour confier quelques pistes bien-être dans le but de réaliser à quel point notre bonheur ne dépend que de nous, même si le contenu de mon débriefing portera, plus particulièrement, sur les souffrances physiques et mentales à surmonter dans le quotidien, lorsque se présentent, par exemple, des maladies dites "de l'invisible" ou chroniques. 

Rendez-vous dans quelques jours pour en parler, et découvrir les quelques alternatives auxquelles vous pouvez éventuellement recourir pour ne plus subir ni être victime de pathologies mais, au contraire, (re)prendre un certain contrôle sur l'impact que celles-ci peuvent avoir sur vous

Prenez soin de vous !

jeudi 19 octobre 2017

Feedback #19

La réconciliation avec soi


Je suis ravie de vous retrouver pour un tout nouvel article Coaching, avec de nouvelles pistes de développement personnel à vous apporter, et vous accompagner dans votre quête du bien-être

Cette fois-ci, il me paraissait important de parler de l'image (souvent erronée !) que l'on peut avoir de soi...

Si j'ai  choisi cette période assez charnière de l'année pour évoquer ce sujet, c'est justement pour vous inviter à rompre avec des idées reçues qui ne vous élèvent pas (et même plutôt bien au contraire !), et vous donner l'opportunité de devenir maître de vous-même en toute circonstance, et en toute saison.

En effet, il est assez coutumier d'entendre un quidam affirmer que, le soleil étant notre principale source de bien-être, lorsque le printemps puis l'été pointent le bout de leur nez, la société retrouve sourire, bonne humeur, désir, motivation, projets, détente etc. Et, qu'a contrario, lorsque arrive l'automne, avec la fin de l'année, le froid, les jours qui déclinent plus rapidement, le moral a tendance à être en berne.
Il n'est pas nécessaire d'insister sur le fait que cela engendre alors un impact énorme dans notre propre rapport à soi, aussi bien dans une situation que dans l'autre...

Alors quelle triste fatalité

Mais, et si finalement tout cela n'était qu'un amas d'excuses pour fuir notre véritable rapport à soi ? Se donner des bonnes raisons de se laisser aller, déprimer, perdre notre sourire, notre légèreté, et surtout nous déresponsabiliser ?

Et c'est là que votre coach intervient pour cesser cette victimisation et vous rendre définitivement maître de votre pensée.


Alors, la réconciliation avec soi, ça passe par quoi ?  

 

Premièrement, par le pouvoir de la pensée


Cela vous étonne-t-il ? Et pourtant ! Notre esprit est ultra puissant, ne l'expérimenteriez-vous d'ailleurs pas avec cette auto-persuasion que vous avez dans l'approche négative de vous-même ? J'entends par-là les auto-critiques, les fameux "je ne serai jamais à la hauteur", "je n'y arriverai jamais", "je n'en vaux pas la peine",  "de toutes façons, je suis trop nulle", "je n'aurais jamais cette chance"... Et j'en passe, et des meilleures ;-)

Tout cela s'appelle : le conditionnement !

Mais bonne nouvelle. Si le conditionnement négatif existe, son contraire aussi ! Soit, le conditionnement po-si-tif. Il est juste plus subtil et discret, il faut vraiment tendre l'oreille pour l'entendre...

Cependant, je vous invite vivement à vous considérer comme votre véritable propre meilleur(e) ami(e), et non comme votre pire ennemi(e).

Or, comment procéder dans les faits ? Si vous considérer comme un être doué de capacités et de bonté vous semble trop difficile, testez le "JE du siège". Installez deux chaises l'une en face de l'autre. Sur l'une, vous y déverserez tout ce qui a de plus négatif en vous, tout ce qui ne vous revient pas, toutes les critiques que vous pensez et ressentez à votre égard. Puis, vous allez changer de chaise. Et cette fois-ci, vous serez cette ami(e) bienveillant(e) qui vous veut du bien, qui pense du bien de vous et qui vous aime à votre juste valeur.

Valorisez-vous : qu'est-ce qui permet de compenser ce défaut-ci ? Ou encore ce manquement-là ?

Pour se prêter suffisamment bien au jeu, rien de tel que de faire comme si vous étiez face à un(e) ami(e) en véritable détresse. Prenez-vous par la main : "Il n'y a qu'une seule personne avec qui vous allez passer le reste de votre vie... C'est vous"

Deuxièmement, la réconciliation avec soi par l'image que l'on a de soi


Prenez le temps de vous regarder dans le miroir, le matin. Ne vous fuyez pas. Vous allez me dire que c'est justement parce que votre tête ne vous revient pas mais, et si justement, elle ne vous revenait pas parce que vous ne prenez pas le temps de prendre soin d'elle, ni de la mettre en valeur ?

Tout est question d'attitude envers soi. Si lorsque votre croisez votre reflet dans le miroir vous avez tendance à tirer la langue ou faire quelconque grimace, comment souhaitez-vous vous sentir bien dans votre tête et dans votre peau ?

Amusez-vous davantage : faites-vous des clins d’œil, des sourires, soyez même dans l'exagération : votre inconscient n'a pas de second degrés. En vous révélant complice avec vous-même, votre inconscient va comprendre l'importance de votre être, et il sera plus difficile de vous dévaloriser à longueur de temps.

Troisièmement, c'est prendre soin de soi


Et prendre soin de soi, encore une fois, est loin d'être un acte égoïste ! Chacun de nous est un rayon qui diffuse autour de lui. Soit de la lumière, soit  de la négativité... On transpire ce que nous pensons. Et si nous ne réagissons pas, nous devenons rapidement une véritable épidémie de frustration, déception, désespoir voire même de noirceur.

Vous ne me croyez pas ? Constatez donc combien vous riez rien qu'à regarder des inconnus pris de fous rire, sans que vous n'y compreniez rien ; et voyez combien vous perdez en énergie lorsque vous discutez avec quelqu'un qui broie du noir...

L'énergie est un véritable flux qui circule entre nous tous. Alors si vous parvenez à être votre propre réserve d'énergie, en prenant le temps de vous "pauser", de vous ressourcer, que ce soit par la musique, la lecture, le cinéma, la solitude, la méditation, le sport, le sommeil, la cuisine et j'en passe, vous serez suffisamment équiper pour affronter les difficultés du quotidien qui ne seront plus des obstacles à votre bien-être, mais plutôt des aléas à dépasser. Et rien qu'en remplaçant ces termes-là, la manière de les aborder, et par conséquent la capacité à les gérer est toute autre.

Quatrièmement, quelques exercices pratiques...



Pour justement adopter la bonne attitude qui permet de se réconcilier avec la personne que nous sommes !

Se poser les bonnes questions : "est-ce vraiment ce que je veux ?", "est-ce que cela me correspond réellement ?", "est-ce que je me sens en totale adéquation avec ce fait ?" Pour être le ou la plus authentique possible

S'encourager : en se trouvant un compliment, une qualité chaque matin devant la glace, ou en affirmant à chaque lever "Je suis capable, j'y travaille, je réussis"

Se valoriser : se trouver trois points positifs, systématiquement, à chaque dîner, sur l'ensemble de la journée, quelle qu'elle eut été, et se montrer reconnaissant(e)

Visualiser ce que l'on aimerait tant être, se projeter en affirmant déjà l'être. Car il facile de s'affliger et de s'apitoyer sur son propre sort. Or, nous avons tous la capacité de changer ce qui ne nous convient pas. Rappelez-vous : "nous sommes ce que nous choisissons de devenir" 

 

Alors, et vous, qui aimeriez-vous être ?

dimanche 15 octobre 2017

Challenge Bien-Être d'octobre

Pour ce nouveau Challenge Bien-Être d'automne, j'avais envie de vous inviter à vous faire face, car avec l'arrivée du froid, des jours qui raccourcissent, souvent, le moral est en berne et l'estime de soi à son image. 

J'aimerais donc vous inciter à ne pas vous laisser dominer par des pensées négatives à votre propre sujet, et à devenir votre meilleur(e) ami(e).

Alors, 


Rendez-vous dans quelques jours pour vous donner quelques pistes sur la réconciliation avec soi

A très vite !

jeudi 21 septembre 2017

Feedback #18

... Ou Carpe Diem !


Lorsque je vous ai proposé ce tout nouveau Challenge Bien-Être à l'occasion de cette rentrée 2017, l'idée était de vous inciter à réfléchir sur votre propre mode de vie et de fonctionnement, à travers vos actes et vos paroles dans votre quotidien.

Les vacances se sont terminées, vous êtes en pleine forme, vous rattaquez d'un bon pied, de bonne humeur et plein de bonne volonté pour les mois à venir, mais... La véritable question à se poser pourrait être : vous y prenez-vous de la bonne manière ?

Car après tout, nous nous projetons sans arrêt dans l'avenir, un avenir plus tranquille, plus serein, que nous espérons bien atteindre à un moment donné (bien qu'il ne tienne qu'à nous-mêmes de l'atteindre...)
Nous planifions nos vacances, et pendant nos vacances, nous programmons notre rentrée. A la rentrée, nous réfléchissons à la fin d'année qui est à préparer, et à la fin d'année, nous nous imaginons déjà au cours de l'année prochaine, avec nos prochaines bonnes résolutions à tenir.

Et à côté de ça, nous passons notre temps à râler sur les heures qui défilent, les journées trop courtes et les années perdues !

C'est pourquoi je souhaitais vous inviter à prendre le temps. Car je crois qu'aujourd'hui, à trop nous éparpiller, nous ne savons plus ce que c'est, l'instant présent.

1. Les faits


Dans la société actuelle, nous sommes toujours en mouvement, rien n'est jamais fixe.

Notre quotidien est rythmé par un emploi du temps établi à l'avance, partagé entre le travail, les enfants, la maison et les loisirs. Parfois, pour subvenir aux besoins de notre famille, nous cumulons même deux emplois : dur, dur de faire autrement que d'être dans une perpétuelle course au temps !

Si le quotidien et la société nous conditionnent à toujours aller de l'avant sans profiter de l'instant présent (je fais notamment référence au business des supermarchés, avec les œufs de Pâques installés dans les rayons à peine Noël fêtée), pourquoi courir après le temps aussi lors de nos week-ends, ou temps entre amis ? Pourquoi se dépêcher de lire son journal tout en écoutant de la musique ? Pourquoi jouer sur son smartphone devant la télé ? Pourquoi envoyer des textos quand on est avec des amis ou son amoureux ?

Car, finalement, si nous nous convainquons dans notre quotidien que "le temps, c'est de l'argent" et que nous ne pouvons faire autrement avec le travail, par exemple, quel est l'intérêt de se "dépêcher à se détendre" ?


2. Explications


Cette mauvaise habitude de faire plusieurs choses à la fois et qui n'ont rien à voir entre elles tient :

- du fait que nous pensons gagner du temps (comme lorsque nous sommes en plein embouteillage et que nous réfléchissons à notre liste de courses)
- du fait que nous avons l'impression d'être plus efficace, plus actif, plus dynamique
- du fait que cela nous donne la sensation d'être indispensable
- de l'admiration que nous possédons face à ceux qui en font beaucoup, qui ont de nombreuses responsabilités, ce qui nous fait culpabiliser (celui qui prend son temps passe pour un fainéant, non impliqué dans sa vie)

3. Conséquences 


Or, que se passe-t-il quand on fait plusieurs choses à la fois ?

- Nous prenons le risque de ne faire les choses qu'à moitié ! Nous nous éparpillons, nous passons d'un sujet à l'autre et l'essentiel n'est pas -ou plus- au rendez-vous
- Par conséquent, nous entamons beaucoup de choses sans prendre le temps de les terminer...
- Et cerise sur le gâteau : comment apprécier un bon classique alors que nous sommes plongé(e) dans les nouvelles du jour ? Comment s'imprégner d'un excellent roman quand son téléphone vibre toutes les trois secondes ? Comment savourer son déjeuner tout en travaillant ?

4. Alors, comment y remédier ?


Il est primordial d'apprendre à faire les choses les unes après les autres et à les vivre chacune vraiment et pleinement

Vous y gagnerez : 

- en diminution de la tension artérielle 
- en meilleure concentration
- en meilleure mémorisation
- en pensées plus claires et structurées 
- en meilleure productivité
- en satisfaction personnelle 
- en plaisir 
- et donc en un véritable sentiment de sérénité intérieure

Alors apprenez à faire une chose à la fois, à vous concentrer dessus, à vous focaliser dessus et à vivre réellement cet instant présent, unique et précieux, ce que vous êtes en train de faire ou de penser. Cela s'appelle la pleine conscience

5. Alors, on s'y met ?


Il est évident que dans la vie quotidienne, nous n'avons pas toujours les moyens de faire ce que l'on veut, comme on le veut, sans avoir ce sentiment d'être obligé(e) de "speeder", de ne pas pouvoir faire autrement. 

Je vous l'accorde ! 

Cependant, essayez d'apprendre, dès que vous en avez l'opportunité, en vous entrainant sur une mauvaise habitude, et de l'étendre à davantage activités tout au long de la journée. C'est ainsi que, petit à petit, dans la majeure partie de votre vie quotidienne, vous en ressentirez -et profiterez!- des bienfaits.

Je vous propose alors quelques pistes pour commencer "une action à la fois". Elles sont principalement tirées de l'enseignement du yoga, comme : 

- S'octroyer son aliment ou sa boisson préférée. Prendre le temps de le savourer, de laisser son arôme, sa texture remplir l'ensemble de votre bouche. Ne penser à rien d'autre qu'à cette action, lui être entièrement consacré(e) pendant quelques minutes : cela vous reconnectera aux sensations gustatives, olfactives et de plaisir que cela engendre

Vous verrez, en dehors de l'appréciation de ces plaisirs, vous y gagnerez aussi en satiété ! (vive la prise de poids quand on mange devant la télé !)

- Prendre 15 minutes aujourd'hui pour siroter une boisson, sans lire, ni consulter internet, ni son téléphone, ni discuter, ni écouter la radio : un véritable tête à tête avec soi-même, dans l'instant présent et observez

- S'interrompre dans une tâche que nous réalisons pour regarder autour de soi, et être attentif aux couleurs, prêter attention aux odeurs, solliciter tous nos sens

- Vivre pleinement nos déplacements : que ce soit à pied, dans le métro, la voiture, l'ascenseur, nous avons tous tendance à être absents durant ces "transitions", car nous pensons, téléphonons, jouons, écoutons de la musique, lisons... Notre mental passe du point de départ à la destination comme si le temps entre les deux n'existait pas, alors que nous passons une grande partie de nos journées en transition ! Alors, levons les yeux, élargissons notre vision, regardons autour de nous, connectons-nous avec tous ces gens qui partagent ce même moment ! 

- Vivre la solitude et le silence. En effet, nous avons rarement l'opportunité d'accomplir un retrait total des sens, mais nous pouvons au moins essayer, pendant une journée, de réduire au maximum le flux des informations extérieures que nous ingérons : éteignez votre télévision ou votre radio, oubliez le téléphone, ne lisez que ce qui est indispensable à votre travail. Lorsque vous le pouvez, fermez les yeux, et amenez votre conscience vers votre espace intérieur en écoutant le son de votre propre respiration. Recentrez-vous sur vous-même, votre propre batterie

- Et enfin, parvenez à ne posséder qu'une pensée à la fois :-) 
Tout comme le suggère le principe même de la méditation, qui ne vous demande en aucun cas de ne penser à rien, mais plutôt de penser à une chose à la fois, laissez passer les idées qui vous viennent en tête, sans vous y attarder et revenez sur l'objet principal de votre focalisation (la respiration ou encore un objet visuel ou auditif).
Ainsi, dans votre embouteillage, pensez à votre liste de courses, mais quand votre esprit s'éparpille et part sur autre chose, recentrez-le sur votre liste de courses ! 

Un grand merci à Frédérique pour cette excellente idée de sujet Bien-Être à mettre en œuvre pour cette rentrée 2017 !


Je vous souhaite une bien belle mise en pratique et à très vite pour un nouveau Challenge Bien-être !

dimanche 3 septembre 2017

Challenge Bien-Être : "C'est la rentrée !"

... Et qui dit rentrée, dit bonnes résolutions ! 


Au retour de vacances, même si l'envie de s'y remettre n'est pas forcément pleinement au rendez-vous, on a l'idée en tout cas de, cette fois-ci, bien s'appliquer pour s'y tenir !

Nouvel agenda : OK 
Des stylos qui fonctionnent : OK
Rangement - tri des affaires : OK 
Nouveaux éléments dans la garde-robe : OK
To do liste remplie de bonnes initiatives : OK
... Et j'en passe !

L'idée est excellente : on se projette dans l'avenir pour faire en sorte qu'il nous corresponde et nous plaise.

Et c'est là que votre coach préférée intervient ;-)

J'ai envie de vous dire STOP ! Et "pausez-vous".

Pour ça, rien de mieux qu'un tout nouveau Challenge Bien-Être à l'occasion de cette rentrée !









A dans quelques jours pour débriefer, ici et sur les ondes de Fréquence Mistral !

Belle rentrée à Toutes et à Tous :-)

dimanche 13 août 2017

Pause estivale !

En ce milieu du mois d'août, 

 

Votre Coach Certifiée de Coach'in U s'octroie une petite pause estivale d'une semaine afin de recharger les batteries au mieux et vous retrouver en forme, dans le but de vous porter aussi loin que vous le pouvez ! 

Pour vous donner un aperçu de ce qui nous attend à la rentrée, je vous invite à feuilleter l'excellent Dr Joseph Murphy, à travers Le Pouvoir de Votre Subconscient

En ce qui me concerne, j'aurais le plaisir de vous retrouver à Chorges, le dimanche 24 septembre 2017, sur l'ensemble de la journée, à l'occasion du Salon des Arts Énergétiques et du Bien-Être.

Je vous souhaite à Toutes et à Tous un très bel été 2017 :-) 

On se retrouve tout bientôt ! 

En attendant,


Prenez soin de vous

jeudi 20 juillet 2017

Feedback #16 : La sérénité

Ou comment aborder un été serein ! 


... Et transposer cette sérénité tout au long de l'année ;-)

Quel plaisir de se retrouver en plein milieu de l'été pour faire le premier bilan de cette moitié d'année qui vient de s'écouler. 

Où en êtes-vous de vos envies ? De vos projets ? De votre réalisation ?

Généralement, l'été, c'est la saison des "bonnes résolutions", un peu comme au Nouvel an. Alors, quelles sont les vôtres ? Et comment comptez-vous vous y prendre pour y parvenir

En ce qui me concerne, je crois comprendre l'importance de la question de la sérénité qui revient très souvent dans mes contacts et autres conversations, personnelles et professionnelles. 

Seulement, qu'est-ce que la sérénité ? 

Un peu d'étymologie : provient du latin serenitas, qui signifie sécheresse. Ou tout simplement, absence de trouble et d'agitation

Mais... Où est-elle passée, cette sérénité, dans notre société ?

Vous sentez-vous serein.e, vous, dans votre quotidien ?!

Car autant dire qu'avec l'effervescence de la vie que nous menons, il n'existe plus vraiment de place à accorder pour une quelconque absence d'agitation ! Nous sommes toujours connecté.e, toujours en mouvement, en train de penser et faire, et même plusieurs choses à la fois. Or, la sérénité aspire au repos, au calme, à l'absence de tout mouvement, à l'absence de la moindre brise, même celle de l'été. 

Alors comment faire pour y remédier et vivre pleinement sereinement ?

1. Déconnectez-vous ! 


Pour approfondir cette idée, je souhaite rebondir sur mon précédent débriefing, et le fait de vous inviter à vivre dans le monde plutôt que d'être parmi le monde.

Effectivement, la nouvelle technologie permet de s'ouvrir instantanément aux autres et de repousser, voire dépasser les frontières et des limites (je pense notamment aux diverses langues parlées dans le monde)
Seulement, elle apporte aussi son lot d'inconvénients, comme le fait de s'isoler, malgré la sensation d'ouverture sur le monde, mais aussi et surtout, ce sentiment d'être constamment aux aguets, à l'affût, de la moindre info, du moindre stress : je fais notamment références aux crimes, aux attaques, ainsi qu'à la psychose qu'entretiennent parfois les médias extrapolant par moment des sujets au détriment d'autres qui pourraient être plus valorisants. 
Alors quand une mauvaise nouvelle tombe, notre réaction se répète : "décidément", "dans quel monde vit-on", "jusqu'où ça va aller", "et allez"...

Peu importe où vous regardez, à travers cette technologie (téléphone, télévision, radio, ordinateur) : vous êtes constamment confronté.e aux malheurs, aux difficultés, au désespoir, à l'impuissance, à la culpabilité...

L'enjeu est donc de réussir à ne plus dépendre de cette avancée technique, mais plutôt de s'en servir davantage comme un bonus, ponctuellement. Ne plus l'utiliser comme pure exclusivité ni unique vérité, afin de s'en affranchir, et donc se recentrer sur son propre monde, réel et proche.

Déconnectez-vous technologiquement parlant, et reconnectez-vous intellectuellement parlant

Faites-vous votre propre opinion, prenez l'initiative d'être en quête d'informations qui vous portent plutôt qu'être en attente de livraison d'informations qui vous accablent, levez le nez de votre téléphone dans la rue, regardez autour de vous, souriez, dites bonjour aux gens, prêtez attention aux situations qui vous entourent : vivez votre moment à vous, et rien qu'à vous.  

Vivez dans le monde et non parmi le monde.

2. Utilisez la technique de l'ancrage 


Mais kézako ?!

Eh bien, une des nombreuses ressources dont regorge la fameuse PNL (Programmation Neuro-Linguistique). Nom quelque peu barbare, je vous l'accorde, mais comme déjà précédemment abordé, c'est une technique qui part du principe que, pour résumer vulgairement parlant, le cerveau ressemble à un disque dur d'ordinateur, paramétré par des conditionnements issus de nos expériences directes (vécues) ou indirectes (rapportées), et qu'il est tout à fait possible de re-programmer tout autrement ce conditionnement, si ce dernier nous pèse voire nous handicape dans notre vie (phobies, manque de confiance en soi, problèmes nutritionnels...)

Alors, je vous invite à vous installer confortablement, les premiers temps assis, pour vous inciter à vous consacrer uniquement et pleinement à cette pratique durant quelques minutes. 
Vous allez réaliser une première série de respiration : j'inspire par le nez, je bloque trois secondes, puis je relâche tout doucement, le plus lentement et longuement possible jusqu'à creuser mon ventre autant que faire ce peut. 
Réalisez à nouveau ce type de respiration relaxante deux fois de suite. 
Une fois parfaitement détendu.e, vous allez soit visiter un lieu connu dans lequel vous vous êtes toujours senti.e serein.e, soit imaginer un lieu qui vous apporterait la sérénité. Ce peut-être une chambre d'enfant, un restaurant, en pleine montagne, sur une plage, dans un chalet, l'époque de Noël, une réunion de famille. Peu importe le lieu ou le moment que vous choisissez ou créez,  le plus important est que vous vous imprégniez de son atmosphère (du ressenti physique, émotionnel, visuel, auditif, éventuellement gustatif...)
Une fois à l'apogée des sentiments de bien-être et de sérénité de ce lieu ou de ce moment, je vous invite à exécuter une pression à un endroit précis du corps, un point qui est parlant pour vous. Je vous recommande d'un point de vue pratique la moitié supérieure de votre corps, comme la nuque, l'épaule, le thorax (pour le cœur), le bras, le pouce ou l'index, mais ce peut être aussi sur le haut de la cuisse, du genou, à vous de choisir.
C'est ce qu'on appelle l'exécution du point d'ancrage. Tout en effectuant la pression, vous allez continuer à vivre chacun de ces ressentis de l'atmosphère que vous avez choisie comme référence de sérénité : cela permettra à votre corps de s'en imprégner littéralement.

Durant les trois prochaines semaines, vous réaliserez matin et soir, systématiquement, cet exercice. En reprenant le même souvenir ou la même création, les mêmes mots clefs, les mêmes sensations, les mêmes émotions

C'est ce qui va permettre à votre inconscient de relier ce geste au sentiment recherché, soit la sérénité pour nous, aujourd'hui. Et dès lors que vous aurez besoin de ce sentiment de sérénité, vous n'aurez qu'à fermer brièvement les yeux et à presser l'endroit que vous avez ancré précédemment. Ainsi, vous enclencherez comme une sorte d'interrupteur, qui saura diffuser dans votre corps et esprit tout entier l'état émotionnel que vous recherchez.

Cette pratique fonctionne aussi pour la créativité, le courage, l'endurance...

3. Posez-vous les bonnes questions et respirez


Si la sérénité est le propre de l'absence de toute agitation, vous conviendrez que le stress c'est le propre de la présence de toute perturbation, de tout trouble.

Ainsi, lorsque le stress survient, il existe des "symptômes" reconnaissables entre mille et propres à chacun :

- les papillons dans le ventre
- les mains moites
- la voix qui tremble
- la gorge qui se noue
- le cœur qui palpite
- l'incapacité à respirer
- peut-être même la nausée
- la cogitation mentale

C'est comme un trop plein d'activité cérébrale qui vous embrouille et vous conduit à une sorte de convulsion intellectuelle et physique, à divers degrés, selon la situation rencontrée et la réceptivité au stress.

Ce qui permet donc de retrouver une certaine tranquillité à ce moment-là, c'est déjà de respirer. Ce que l'on a tendance à oublier de faire, en cas de crise de panique ! On se retrouve en apnée, d'où ce sentiment de malaise qui s'accentue par la nausée, le cœur qui palpite etc.

Testez-vous et respirez particulièrement rapidement et bruyamment : observez combien vous allez vous sentir mal. C'est ce que l'on appelle l'hyperventilation, qui peut d'ailleurs conduire à une perte de connaissance.
Maintenant, contrôlez votre respiration, lentement, longuement, posément, et voyez combien lorsque vous prenez conscience de votre respiration, lente et profonde, vous ne pensez plus à rien. Vous quittez l'état de pleine agitation du stress, pour entrer en pleine "sécheresse", état où brille l'absence de toute perturbation.


Puis, une fois que vous avez réussi à reprendre le dessus et à contrôler votre propre fonctionnement face aux situations de stress, la première question consiste à vous demander si, dans la situation si dramatique que vous traversez, il y a mort d'hommes, concernant vous-même et/ou les personnes touchées par cette situation. Votre cœur bat-il toujours ? Si oui, il y a de grandes chances que vous vous en sortiez :-)

La seconde sera de vous interroger sur l'importance que vous souhaitez attribuer à cette situation et l'impact que vous désirez lui accorder sur vous mais aussi sur les autres (j'entends par-là vos collègues, vos enfants, vos ami.e.s, votre conjoint)
 
Il est dit que la vie est faite de 10% de ce qui m'arrive. Les 90% restants sont ce que j'en fais...

Un support qui peut, d'ailleurs, être intéressant à exploiter : la méthode Ho'oponopono, qui est une pratique ancestrale hawaïenne, permettant de résoudre des conflits, en nous invitant à abandonner le rôle de victime que l'on a trop souvent tendance à endosser, par pure facilité.

La philosophie de cette pratique réside essentiellement dans l'existence du poids des mémoires inconscientes de notre passé (croyances) dont il est primordial de se libérer consciemment.

C'est pourquoi, à travers elle, on nous invite à nous prendre conscience que l'on a toujours le choix :

- soit celui de se laisser diriger par ces mémoires inconscientes que nous subissons,

- soit celui de s'en libérer en les affrontant et en changeant les choses qui ne nous conviennent pas.



"Nous ne pouvons pas devenir ce que nous voulons être en restant qui nous sommes" 

Nietzsche


A méditer ;-)

4. Prenez soin de vous ! 


On cherche souvent à diffuser, autour de soi, des bonnes ondes, des bonnes idées. On cherche souvent à aider les autres, à leur apporter toute l'aide dont ils peuvent avoir besoin, seulement comment leur apporter suffisamment et surtout de qualité, si soi-même nous sommes épuisé.e

C'est un peu comme puiser dans le réservoir de votre voiture. Au bout d'un moment, il est indispensable d'aller faire le plein pour qu'elle ait de nouveau du carburant !

C'est pourquoi il est primordial de vous accompagner : ça va passer par des encouragements de bon matin, voire des compliments, des sourires devant la glace, pour bien démarrer la journée (si, si ! au début, vos sourires ressembleront certainement à des grimaces, mais peu à peu, ils se transformeront en sourire sincères et réels,  ce qui permettra à votre inconscient d'intégrer tous les bienfaits qu'il y a à retirer du sourire : notamment la "positive attitude" !)
Le soir, cherchez votre fierté du jour. Cela vous enthousiasmera et vous permettra de ne pas forcément rester sur un couac de la journée. 

Chouchoutez-vous ! Il n'y a qu'une seule personne qui va vivre avec vous pour le restant de ses jours : c'est vous ! Autant être bien dans sa tête et dans son corps, non ? Et si finalement, vous appreniez à vous aimer ? Cela passe par une réappropriation de soi, de son image, de ce que l'on souhaite être. On revient au précédent challenge : oser

Pour ça, sans vouloir prêcher pour ma propre paroisse... Rien de mieux qu'un.e coach de vie ! ;-) 

5. Donnez plus de place à ce que vous aimez


Ecoutez-vous. Cessez de "convenir aux codes de la société". D'ailleurs, qui s'est permis de les définir, ces fameux codes ?!

Bien entendu, je ne vous demande pas d'aller à l'encontre de la loi, mais je pense surtout à ce qu'on a tendance à généralement coller comme étiquette sur le bien-être et le temps pour soi : le fait qu'a priori, ce soit un acte égoïste !

Ah bon ?! Aller faire le plein de sa voiture pour venir en aide à un proche qui habite à une centaine de kilomètres alors que nous sommes déjà en réserve, c'est du pur égoïsme ?

Si vous avez envie de nouvelles choses, de nouvelles expériences, de nouvelles rencontres, de nouvelles idées, eh bien faites ! Ce qui est le plus important, c'est d'être en accord avec soi. Il n'y a rien de mal à s'octroyer une pause dans la vie effrénée que nous menons tous aujourd'hui.

Alors, avant d'envisager comment vous pourriez vous y prendre pour y parvenir, si je vous demandais, là, maintenant, tout de suite, qu'est-ce qui vous plairait, vous me répondriez quoi ?

J'espère que cet article vous aidera à réaliser combien la personne que vous êtes est importante et combien il faut en prendre soin. Cela vous évitera de vous mettre en situation d'attente et donc d'échec : là, je pense aux rencontres. Car au lieu d'attendre la bonne personne, vous serez LA bonne personne... !

Ne soyez plus "parmi le monde", mais vivez DANS le monde !