dimanche 23 décembre 2018

Fêtes de fin d'année

2018 a eu son lot de bonnes et moins bonnes surprises, de facilités et de difficultés, d’événements positifs et d’autres négatifs, qu’ils concernent la vie privée, professionnelle ou relationnelle.

Dans tout ce mélange que compose la vie, l’être humain possède cette malheureuse et fâcheuse tendance à ne retenir que le négatif… Pourtant, j’aimerais vous rappeler combien malgré les épreuves rencontrées et les obstacles à franchir provoquant certaines complications et résistances plus ou moins importantes voire violentes face à vous, vos envies, vos choix, et vos projets, vous êtes encore et toujours là. Plus grand-e, plus fort-e qu’avant !

Ces moments difficiles que vous avez dus apprendre à dépasser auront su renforcer votre volonté, même s’il y a eu des moments de découragement, inévitablement. Ils vous auront permis de faire le tri, de vous entourer des bonnes personnes, de conscientiser ce qui se passe autour de vous et en vous, de déterminer ce qui vous convient et ce qui ne vous convient pas ou plus, et de choisir d’agir en conséquence.

Cette année passée vous a permis de grandir, encore un peu plus, de même que 2019 promet de vous faire grandir à son tour. Car la vie nous permet à toutes et à tous de grandir, d’évoluer, dans le but de nous conduire à ce que nous souhaitons être. A vous de vous montrer authentique, de vous montrer en accord avec votre Être Intérieur, respectueux-euse de votre « moi profond » qui ne vous demande qu’une chose : exister, sereinement.

Alors, je vous souhaite de passer de Belles Fêtes de Fin d’Année, avec pour objectif de souligner ce que 2018 a su vous apporter de bénéfique à travers chacun des événements qui l’aura composée, positifs et négatifs, et de pointer ce que vous souhaitez rectifier pour 2019.

Prenez soin de vous et… A l’année prochaine !

jeudi 20 décembre 2018

En cette fin d'année : actez et transformez !

Et passez de belles fêtes de fin d'année, bien sûr ! 


... C'est un peu ce que nous n'arrêtons pas d'entendre -et aussi !- de répéter à notre entourage, plus ou moins proche. 

Mais, en soi, ça veut dire quoi "Passer de belles fêtes de fin d'année" ? Comment fait-on quand il y a des tensions dans l'air avec nos proches ? D'ailleurs, comment fait-on quand on n'aime vraiment pas Noël ? Pourquoi faire de cette période "une fête" ? Pourquoi attendre la fin d'une année pour la célébrer, passer du temps en famille ou avec ceux que nous aimons ? 

Vous l'aurez compris, grosse crise existentielle en cette fin d'année 2018. Et c'est par l'intermédiaire de cette crise existentielle que j'avais envie de partager avec vous, que je me suis posée pour réfléchir à tout un ensemble de questions que vous m'avez d'ailleurs également posées, en vous intéressant à l'événement que j'ai créé à l'occasion de cette chronique radio "spéciale". 

Alors pourquoi "spéciale", me demanderez-vous ? Surtout si j'ai l'air de ne pas forcément être d'accord avec l'idée d'attendre uniquement après ces fêtes pour célébrer la vie, les amis, la famille, les bons repas et les attentions des uns envers les autres !
Eh bien "spéciale" tout simplement parce que j'ai pensé que, vous aussi, vous aviez votre mot à dire. J'ai pensé que "Coach & Vous" de "L'Instant Bien-Être", c'est aussi et surtout votre chronique radio coaching, et je souhaitais de tout cœur vous y faire participer ouvertement et concrètement

J'ai donc relevé l'ensemble de vos questions, que vous avez publiées sur l'événement pour les moins timides, et énormément en messages privés, pour les plus réservés.
Je vous remercie d 'ailleurs infiniment de votre confiance et vous promets de ne pas divulguer votre identité : secret professionnel garanti ;-)

Avant de répondre à chacune de vos questions, parlons de l'ambiance générale de cette période qui parait si cruciale et qui est tellement ancrée dans nos mœurs.

Comment faire pour "passer de belles fêtes de fin d'année" quand il y a de la tension dans l'air ?


Ah ! La communication... Un véritable art ! L'un des arts les plus difficiles à manier, d'ailleurs. Car, dans un échange -ou un manque d'échange, d'ailleurs !-, il y a aussi bien la résonance de ces échanges en moi, en rapport à mon histoire, à mon vécu, à mes idées, à mes besoins et mes attentes, mais aussi la résonance de ces échanges -ou de ce manque d'échange- en l'interlocuteur ou, en tout cas, en la tierce personne concernée.

Une mauvaise communication, ça va se traduire par des maladresses, mais surtout par des malentendus, des quiproquos et essentiellement par des interprétations, engendrant par conséquent des malaises et des tensions. Sauf  que, si nous pouvons être certain-e de l'impact de ces échanges ou de ce manque d'échange sur nous, nous ne pouvons l'être de ce qui se passe pour l'autre et en l'autre.

Alors, à vous de choisir le goût que vous souhaitez donner à cette période de fin d'année. Le goût d'amertume ? D'une main tendue ? Ou de lâcher prise ? Ce choix vous appartient, à vous et vous seul-e. Gardez seulement en mémoire que pardonner, c'est se libérer soi-même de chaînes qui n'emprisonnent que nous. Car, encore une fois, vous seul-e êtes en mesure de considérer l'impact de cette mauvaise communication sur vous, et non sur l'autre.

Devenez bienveillant-e à votre égard. Quelle issue pourrait vous soulager lorsque vous pensez à cette tension avec l'un de vos proches ? Qu'est-ce qui vous ferait le plus de bien ? De quoi avez-vous envie : de distance, de réponses ? Comment parvenir à obtenir ce dont vous avez besoin pour continuer d'avancer sans ce boulet accroché à votre pied, qui vous pèse, et vous fait souffrir ? Et enfin, êtes-vous en capacité de vous apporter ce que dont vous avez envie et besoin ? Nous le disions à l'instant : dans une situation de tension, dans tout relationnel, il y a vous mais il y a aussi l'autre, qui est indépendant de toute votre volonté.
Je ne vous demande pas d'être égoïste, loin de là, mais il reste primordial de savoir faire la différence entre ce qui dépend de soi, et ce qui ne nous appartient pas. Si deux personnes font un pas l'une envers l'autre, je ne saurais que vous encourager à poursuivre vos pas en allant au-devant de cette personne ! Mais si elle vous tourne le dos, ne vous apportez pas davantage de souffrance

Libérez-vous et allez de l'avant !


A ce moment-là, pour ce faire, l'étape du deuil de la relation sera indispensable. 
 

Aussi, comment faire pour "passer de belles fêtes de fin d'année" quand on n'aime vraiment pas Noël ni les fêtes de fin d'année ? 


Je vous invite à vous interroger sur les raisons qui font que vous n'aimez pas cette période. Qu'est-ce qui vous déplait ? Dans quel état cela vous met-il ? Est-ce un sentiment de tristesse, ou plutôt de solitude, ou encore de colère ? Je ne vous le dirai jamais assez : mettez le doigt sur l'émotion qui se cache derrière votre comportement. En identifiant l'émotion, vous allez pouvoir comprendre le manque, le besoin non satisfait qui se cache derrière cette émotion. Et c'est en les relevant, que vous parviendrez à trouver des solutions pour transformer la situation dont vous souffrez. 

Car, oui ! La première personne à en souffrir, c'est bien vous ! Vous et vous seul-e ! Par vos pensées, que vous ruminez. Par vos actes, qui entretiennent vos pensées

Connaissez-vous l'expression : 

"C'est le serpent qui se mord la queue" ?

En voici une belle illustration ! Et, dans le langage du développement personnel, et plus particulièrement de ce que je vous parle régulièrement soit, dans le langage de la Programmation Neuro-Linguistique, nous parlons de croyances renforcées.

Pour travailler dessus, il existe d'excellents outils tels que le tableau de croyances, outil simple et clair d'utilisation, qui vous confronte au mode de fonctionnement qui vous pénalise mais qui, initialement, n'existe que pour vous protéger. 

En aucun cas, votre inconscient ne vous veut du mal... 

Alors prenez conscience, pour acter et transformer. Soyez votre propre meilleur-e ami-e qui vous veut du bien ! Vous êtes la seule et unique personne avec qui vous allez vivre le restant de vos jours. La seule personne qui possède un véritable pouvoir sur vous, c'est vous-même

Alors déterminer ce qui ne vous convient pas dans une période comme celle-ci, identifier ce à quoi elle vous renvoie comme "croyances", et travailler dessus pour les dépasser, pour ne plus les subir, et davantage contrôler votre façon d'appréhender votre environnement (au sens large du terme).  

C'est ainsi que vous ne serez plus spectateur-trice du monde, mais bien acteur-trice de votre monde.

Votre parole, vos questions 


Désormais, je prends le temps de répondre aux questions que vous m'avez posées au cours de ces derniers jours, pour vous donner des pistes coaching.

- Comment combiner besoin et métier ? 


Je connais le parcours de la personne qui a posé cette question et la sais en actuel travail sur un projet entrepreneurial. Cette question me parait vaste et complexe dans le cadre d'un "simple" question-réponse comme il est sujet dans cette chronique. 

Cependant, je tiens à apporter des éléments de réponses qui me semblent primordiaux pour de telles interrogations : nous parlons de quel(s) besoin(s) ? Des nôtres ou des autres ? Il est important de distinguer les deux, dans un premier temps. Puis, de se mettre à la place de l'autre

Pour cela, je vous en ai déjà parlé, utilisez le jeu de la chaise ! Deux chaises l'une en face de l'autre, je m'assoie sur l'une d'elles et me présente en tant que cet autre :  qu'est-ce que je recherche ? De quoi ai-je besoin ? De quoi ai-je envie ? Qu'est-ce qui pourrait être idéal pour me rendre les choses plus faciles

Et je change de chaise. J'apporte des éléments de réponses. Je peaufine mon cheminement de réflexion. Et je progresse

C'est en me montrant à la fois empathique et attentive à l'autre, en prêtant par conséquent attention à mes propres besoins puisque moi aussi, à un moment donné, je suis un autre, que je pourrais avancer dans la précision de mon projet, quel qu'il soit.

- Comment aider son prochain, durant ces fêtes de fin d'année, qui n'ont pas le même goût pour tout le monde ? Je pense aux personnes seules, âgées, ou dans la rue... 


Le monde est injuste. La vie est injuste. Tout le monde n'est pas égal face aux épreuves, aux obstacles. Nous en avons parlé plus haut, avec la communication : la résonance de difficultés relationnelles ne sera pas la même en moi que celle qui impactera l'autre. Nous possédons chacun nos bagages, notre histoire, notre résonance.

Il est compliqué de pouvoir tendre la main à tout le monde. De soutenir tout le monde. D'autant avec ces temps d'actualités particulièrement difficiles que nous ne pouvons pas mettre de côté. Cependant, je dirais que, venir en aide à son prochain, serait de se montrer ni plus ni moins qu'humain

Nous courrons tout le temps. Il y a les responsabilités familiales, professionnelles, sociales, les obligations, les contraintes de la vie quotidienne qui font que nous n'avons plus le temps. Nous ne prenons plus le temps. Alors, nous fuyons. Et ce rapport humain disparait.

Cependant, qu'est-ce que cela coûte un brin d'humanité dans son quotidien ? Un sourire aux passants, un "bonjour" lorsque vous croisez quelqu'un dans la rue, dans le bus ? Ne serait-ce que regarder quelqu'un droit dans les yeux lorsque vous le remercier pour son service apporté ?

Je pense souvent au film Avatar, qui a cette particularité d'insister sur l'expression "Je te vois", lorsque deux êtres communiquent ensemble. Je te vois. Je te considère. Je te respecte. En tant qu'être dans l'ici et maintenant

Rien de plus simple pour vérifier votre façon de communiquer : comment dites-vous bonjour et comment prenez-vous des nouvelles de ceux que vous côtoyez dans la journée ? Est-ce banalisé ? Un simple "Salut, ça va ?" tout en faisant autre chose ? Même rien qu'en faisant la bise ? Après tout, vous ne prenez pas le temps de regarder l'autre dans les yeux pour communiquer pleinement avec lui à ce moment-là. Vous ne prenez pas le temps de prêter attention à sa réponse. Finalement, qu'il vous dise oui ou non, c'est pareil. Ça rentre d'une oreille, et ça sort de l'autre. 

Je vous encore vivement à commencer par dire bonjour en souriant à la personne vers qui vous vous élancez. Faites-lui la bise ou serrez-lui la main, l'autre main posée sur son épaule ou son bras. Puis prenez le temps de formuler votre question : "comment vas-tu, aujourd'hui ?" "Comment te sens-tu, aujourd'hui ?" Et écoutez sa réponse en le regardant dans les yeux. En le considérant. En le respectant. En tant qu'être, dans l'ici et maintenant...

Il y a un défi qui m'a marquée avec le jeu de cartes Ciao Comfort Zone que j'utilise notamment pour des ateliers collectifs, mais aussi lors de certains accompagnements individuels. Il est question de se mettre en situation de challenges, de défis, pour sortir -ou du moins élargir- sa propre zone de confort et se découvrir soi ainsi que l'autre, finalement. Dans l'un de ces défis, il est demandé d'inviter une personne démunie au restaurant, ou à boire un café, et de prendre le temps de discuter. D'échanger. De l'écouter. De partager

Il est vrai que la peur peut se manifester pour ce type d'action. Or, la crainte ne fait que s'accroître depuis que nous creusons ce fossé dans nos propres relations humaines. Tout n'est plus que virtuel. Nous nous pensons ouverts sur et vers le monde alors que nous ne sommes plus que seul-e face à un écran qui nous sépare de la réalité.
Nous avons peur de l'autre comme nous avons peur de nous-même : sinon, nous ne serions pas dans cette pluriactivité, voire suractivité quotidienne ! Mais il existe tellement de façon de s'y prendre... A travers une association, lorsque l'on voit qu'une personne de notre entourage proche ou moins proche n'est pas bien... Et accorder du temps.
 

- Conjuguer cadeaux, éthique et écologie


Il ne s'agit pas ici d'une question mais d'une recommandation que j'approuve. Réfléchir. Se poser. Se "pauser". Prendre le temps de comparer, de regarder, de chercher si cela correspond à mes valeurs. Prendre le temps de connaître ses propres valeurs !

A retenir : 

"Si je suis responsable de ce que je fais, je suis également responsable de ce que je ne fais pas" 

... Mmh, tout est dit, non ? Pas besoin d'en rajouter ? ;-)

Faites connaissance avec votre propre éthique, et apprenez à la respecter en agissant en fonction d'elle. Vous serez dans le vrai.

 - Quels sont nos vœux profonds pour 2019 ?


Pour répondre à cette question, je vous invite à une véritable introspection qui va passer par (roulement de tambour...) : l'authenticité.  

Or, comment être authentique, me demanderez-vous ? En commençant par identifier vos valeurs. Et en se demandant si celles-ci sont bien considérées. Cela nécessite la remise en question, finalement ! Sont-elles considérées ? Oui, très bien ; non, comment puis-je faire pour les considérer ? 

La mise en place de vœux profonds induit, inévitablement, d'accepter l'idée de ne pas forcément se conformer à ce que le monde inscrit comme "cadre" pour se voir attribuer une place, mais de se conformer à ce que nous-même avons besoin pour se sentir à notre place.

Des vœux profonds pour 2019, c'est ce que nous nous souhaitons pour nous-même, et réfléchir à ce que nous allons mettre en place pour y parvenir, en totale adéquation avec notre propre personne.

Je vous recommande de prendre le temps de lister toutes les résolutions qui vous viennent à l'esprit. Notez, oui, notez ! Ne laissez rien au hasard, ni d'abstrait :-) 
Ensuite, faites le tri. Faites le tri entre toutes les résolutions "qui font bien", qui sont là pour "la forme" mais qui ne vous attirent pas plus que cela. Pour cela interrogez-vous sur votre réelle capacité à tenir la dite résolution. Sur votre envie de la tenir ! Sur son rôle dans votre vie actuelle. Une fois que toutes les résolutions superflues ont été retirées (rayées), distinguez, pour vos résolutions : l'action, la raison et l'objectif
Donnez-vous des ailes, permettez-vous de trouver le véritable moteur qui vous conduira à la satisfaction de réaliser cet objectif.

- Comment faire pour que ces vœux deviennent réalité ? D'ailleurs, qu'est-ce qui nous empêche de les atteindre ? Pourquoi ne tient-on jamais -ou presque- nos bonnes résolutions de début d'année ? 


Alors là, j'ai envie de dire que cette question est ultra facile pour toute personne passionnée de coaching ! C'est que vos résolutions, ou objectifs, ne répondent pas à la méthode SMART

- Objectif Spécifique, soit un objectif clairement formulé (à l'affirmative, par "je" et au présent)
- Objectif Mesurable, soit identifier clairement la façon dont je saurai que j'ai atteint mon objectif
- Objectif Atteignable ou Accessible, soit déterminer les étapes qui me permettront d'atteindre le niveau final visé
- Objectif Réaliste, soit mettre au clair les moyens et/ou ressources dont je dois faire preuve ou auxquels je dois faire appel pour y parvenir
- Objectif Temporellement défini, soit avec une date butoir, une échéance finale qui me permette de faire le bilan

Nous avons tendance à en dire trop, et pas assez dans le détail. Mieux vaut se fixer peu de résolutions mais dans le détail pour les avoir à portée de main, et surtout, en saisir l'importance, les raisons qui nous poussent à les accomplir et les bienfaits que nous récolterons une fois accomplis. Il est primordial de se projeter pour se motiver ! Chose que nous avons totalement tendance à oublier de faire puisque les résolutions de nouvelle année ne restent, ni plus ni moins, que de banales habitudes sociales... 

Sauf si vous voulez faire de cette année, la différence ! ;-) 

Merci d'avoir posé cette question : cela va permettre à nombre d'entre vous de vous interroger. 

J'apprécie beaucoup cette autre citation qui illustre bien le propos de la question : 

"Si vous faites ce que vous avez toujours fait, alors vous obtiendrez toujours le même résultat"

- Comment se connecter avec son soi profond, être en accord avec soi ?


Eh bien, cela va passer encore une fois par l'authenticité. Et ça va passer, au départ, par un nouvel automatisme à mettre en place : se poser systématiquement la question "Est-ce que cela me convient ? Suis-je en accord avec cela ou non ?" Et prêter attention aux signaux qui peuvent nous être envoyés, comme des symptômes psychosomatiques terminant parfois par le burn-out, par exemple.

Apprenez à vous écouter. A rester attentif-ve à vos besoins, à vos envies. Retirez votre masque. Celui que vous portez pour vous conformer.

Cette fameuse connexion recherchée réside en l'introspection, certes, mais aussi des temps de méditations, par exemple. Nous en trouvons de nombreuses qui sont guidées sur internet, ou  ne serait-ce que sur l'application Le Petit Bambou.  

Nous parlions de fuite avec la pluriactivité -voire la suractivité- quotidienne dans nos emplois du temps respectifs. Se connecter avec son soi profond et être en accord avec soi, c'est avant tout cesser de fuir nos têtes à tête à nous-même

- Pour terminer, quelles sont les techniques pour bien prendre soin de soi dans le but de ressentir un vrai bien être ?


La plus incroyable des techniques, c'est celle que vous utilisez avec vos proches, vos amis, les personnes que vous aimez le plus : l'indulgence, la bienveillance. Avec vous-même. 

Accueillez les compliments. Reconnaissez vos qualités. Pardonnez vos imperfections. Écoutez vos ressentis. Respectez vos besoins. Accordez-vous du temps. Consacrez-vous du temps. Organisez du temps pour vous. Prenez le temps. Récompensez-vous. Octroyez-vous des plaisirs.


Pour conclure,

  
Je voudrais initier votre réflexion sur une remarque que vous vous êtes déjà peut-être faite à vous-même, ou à vos proches : pourquoi attendre une occasion pour fêter la vie, célébrer des moments, se retrouver et partager ?

C'est d'ailleurs peut-être pour cette raison que certaines personnes vivent aussi difficilement voire douloureusement cette période. Parce qu'il est question d'une joie imposée, contrainte et forcée.

Le fin mot de cette chronique coaching -ou philosophique ?- sera ce qui suit : 

Soyez acteur et actrice de votre vie. Cessez de subir. De vivre le rythme que l'on vous impose. Sachez apporter au monde ce que vous trouvez qu'il lui manque. Faites la différence ! Tout part de vous. Il n'y a que vous qui vivez la vie que vous êtes en train de vivre. Si vous voulez qu'elle change, faites en sorte qu'elle change !

"Soyez le changement que vous voulez voir s'opérer dans le monde" Gandhi. 

"Si vous pouvez l'imaginer, alors c'est possible" Coach'in U